Eva Barto convoque les rapports de pouvoir régissant les codes de la propriété, notamment à travers l'étude des discours hégémoniques, des mécanismes de corruption et des impasses de la loi.
Son travail a fait l'objet de plusieurs expositions personnelles notamment à la galerie gb agency (Paris, 2016), au Centre d’Art de la Villa Arson, (Nice, 2016), au Kunstverein Freiburg (avec Sophie Bonnet-Pourpet), au Kunstverein Nuremberg, au Kunstlerhaus Stuttgart (2021), au Plateau Frac Ile-de-France, ainsi qu’au Macro Museum à Rome (2022).
Il a également été présenté dans des expositions collectives à la galerie Marcelle Alix (Paris, 2015), à la Biennale de Rennes (2016), à Kadist Foundation (Paris, 2016), à la Fondation d’Entreprise Ricard (Paris, 2017, 2019), au Wattis Art Center (San Francisco, 2017) à la galerie Max Mayer (2018, 2021), au musée de la Secession (Vienne, 2018), à la Biennale d’Anafi (Grèce, 2019), au Grand Café (Saint-Nazaire, 2021), à Tabakalera (San Sebastian, 2022)…
Elle est lauréate de la bourse Étant Donnés pour un projet qu'elle a mené en partenariat avec le SculptureCenter (New York, 2022).
En 2016, elle créé le projet éditorial Buttonwood.Press. Elle est co-fondatrice du collectif de droits des travailleur·euses de l'art La Buse et co-anime l'émission ForTune sur * Duuu Radio. Depuis 2019, elle enseigne à l'Ecole des Beaux-Arts de Lyon.